Le plus difficile, dans un déménagement, n’est pas de faire et défaire des cartons, mais de perdre ses habitudes.
Je ne suis pas de celles qui associent les habitudes à la routine ou au manque d’originalité. Les automatismes qu’elles créent laissent à mon esprit les coudées franches pour faire ce qui m’intéresse vraiment plutôt que de chercher où j’ai rangé le sucre. Du latin habere, tenir, l’habitude est un uniforme (un habit) qui m’enlève le souci de choisir quoi mettre à chaque instant du jour. Je tiens à mes douces habitudes.
C’est dire à quel point chaque mise à jour technologique censée me faciliter la vie me la complique. À quoi pensent-ils, ces développeurs qui décident de modifier les menus que j’utilise au quotidien, de déplacer des commandes que je faisais jusqu’ici les yeux fermés? Chaque fois, je dois remettre des petits bouts de pain rassis pour retrouver mon chemin.
Design graphique (logo) : Michel c. Tremblay

Je ne me souviens plus où j’ai lu ceci et ça m’est toujours resté accroché à l’esprit : l’homme et sa douce sont des cochons d’habitudes.
J’aimeJ’aime
Merci Johanne, pour ton histoire et toutes les autres.
Est-ce que ce sont les roches de Saint-Simon-sur-mer???
Bon dimanche.
LouLou😘
La vita è bella
Envoyé de mon iPad
>
J’aimeJ’aime
Oui!
J’aimeJ’aime
J’ai l’oeil👁
LouLou😘
La vita è bella
Envoyé de mon iPad
>
J’aimeJ’aime
Je te comprends tellement. Je viens de changer mon portable (j’avais encore une tour!), mon cellulaire et mon décodeur. Tout cela dans la même semaine! Très mauvaise idée. J’en ai encore des sueurs froides…
J’aimeAimé par 1 personne